1

Le praticien en médecine douce exerce uniquement pour le bien-être du client, à sa demande ou à celle de son responsable légal. Il tient à la confidentialité des informations collectées durant les séances et respecte le secret professionnel.

2

Le praticien en médecine douce travaille à l’écoute du client avec bienveillance et sans jugement. Dans certaines circonstances, il pourra mettre un terme à la prestation.

3

Sur le lieu de son exercice professionnel, le praticien en médecine douce dispose d’une installation adaptée et des moyens techniques nécessaires pour assurer la bonne exécution des soins. Il ne doit pas exercer sa profession dans des conditions qui puissent compromettre la qualité des soins ou la sécurité des patients, en particulier en matière d’hygiène et d’asepsie.

4

Le praticien en médecine douce ne pose pas de diagnostic. Il ne fait jamais suspendre un traitement médical. Il ne suggère jamais au client d’interrompre le suivi médical, les examens ou les investigations nécessaires à déterminer ou à préciser la/les cause(s) de sa maladie. Si le praticien en médecine douce l’estime nécessaire, il conseillera au client d’aller consulter un médecin ou un autre professionnel de santé. Dans le cas d’une pathologie, l’avis d’un médecin est obligatoire.

5

Le praticien en médecine douce préserve l’intégrité de la méthode utilisée auprès du client en évitant toute confusion lorsqu’il utilise d’autres approches.

6

Le praticien en médecine douce fait respecter la spécificité de sa démarche et de sa méthode, il respecte celle des autres professionnels.

7

Le praticien en médecine douce a pour obligation de ne pas exploiter une relation professionnelle à des fins personnelles, religieuses, sectaires, politiques ou en vue de tout intérêt idéologique.

8

Le praticien en médecine douce s’engage à respecter ce code de déontologie qui est aligné sur les principes développés par les codes de déontologie des principaux syndicats et associations en médecine douce.